[Fic] Le gouffre par Mathieu772

Merci a Mathieu772 pour cette super fic!

Prologue

Je me nomme arturus et je suis le grand champion de cyrodill. J'ai, il y a de cela une dizaine d'années, terrasser le prince daédra de la destruction.
Je vis dès lors dans les montagne, dans un domaine que j'ai acheté avec l'argent illimité de mes coffres.
J'ai un hotel de 3 étages, loin de la population. Toute cette pleb et cette agitation me donne mal au crâne et j'ai donc quitter le monde civilisé pour être loin de tous cela et je dois dire que cela ne me déplait pas. J'ai un potager où je fait pousser mes cultures ce qui me permet de rester chez moi, me donnant une excuse pour ne pas aller en ville. La ville la plus proche de chez moi est skingrad.



Chapitre 1 : changement de vie.


J'allais, comme tous les soir, me coucher dans mon petit lit douillet, pensant à la journée de demain.
Lors de mon sommeil j'entendit un craquement puis une odeur de souffre me parvenait. Je me levai d'un bond, pris une dague en argent qui était posée sur ma table de chevet et sortit de la chambre en direction de la cuisine. Je descendit les escalier quand je vis les flammes qui dévoraient ma maison. Je continua ma route et atteint le bas des escalier. Je vis qu'il y avait quelqu'un dans le salon, je m'approchais de lui et le questionna.
-Qui êtes vous !?
L'homme ne répondit pas, je l'entendait ricaner et ils se retournait pour me donner un coup d'épée dans le ventre, j'esquiva pile au bon moment, mes réflexes d'avant étaient toujours là.
je levai ma dague et la lançait dans sa direction, la dague se faufila dans sa gorge, il ne bougeait plus, ses musles étaient crispés puis un léger gémissement sortit de sa bouge, ses yeux se révulsèrent et il tomba sur le sol dans un grand bruit qui fit trembler les murs.
Je récuperai ma dague, l'arrachant d'un geste sec, découpant par la même occasion sa gorge d'où s'échappait une giclée de sang.
Je m'empressa de rejoindre l'exterieur avant que le toît ne me tombe sur la tête, usé par le feu.
Je tomba dans la neige sur les genou et la maison s'écroula dans un brasier immense rempli de chaleur.
Je reçus à la nuque un coup qui me fit plonger la tête dans la neige glacée. J'avais du mal à me relever, m'appuyant sur mes genou mais je redescendis vite fait pour éviter un coup de hache qui me trancha quelque cheveux.
Je me levais le plus rapidement possible et je me mis face à mon adversaire, je lui tournait autour, il levait sa hache comme un bourrain pour essayer de me trancher en deux, il n'eut pas le temps de rabattre son arme que je lui enfonçai ma dague le plus fort possible dans son coeur, la retirant brutalement, il essayait de parler mais seul un gémissement étouffer par le sang sortant de sa bouche me parvenait. Il s'écroula dans la neige et une tache rouge l'entourrait petit à petit.
Je ne pouvais rester encore plus de temps vers ma maison, du moin, ce qu'il en restait. Je pris le maximum d'affaire, ma dague en argent et l'armure de fourrure que portait l'homme gisant dans le froid glacial du sol. Je ne prit pas la peine de prendre sa hache de fer, je n'aime pas les armes lourdes et puis de toutes façon le fer est un matériaux fragile. Je reste donc avec ma dague en argent et je m'enfonçais dans la forêt blanche.

Chapitre 2 : la fuite

Je marchai tranquilement dans la forêt, passant d'arbres en arbres quand j'entendis des aboiements qui venaient de loin.
Je me rapprochais de ces bruits qui réveillaient la nuit et j'aperçus un campement de bandit, peut être les mêmes qui m'avaient attaqués et qui ont détruit ma maison. J'éprouvais une haine féroce à leur égard et l'envie de tous les tuer était impossible à arreter.
Je décidais donc de préparer l'attaque en fabriquant un plan pour les assassiner sans donner l'alerte.
Je serrai la dague dans ma main droite et je pris un caillou dans ma main gauche.
Je descendai une pente et m'approcha du premier garde qui était vers une rivière, me faufilai dans son dos. Je l'attrapai brusquement et lui plongais sa tête dans la rivière remplie d'une eau glacée. Je le maintenais le plus longtemps possible, ses gémissements étaient impossible à entendre.Au bout de 2 minutes il arrêta de lutter et les bulles ne sortirent plus de sa bouche.
Je le lachai et le laissait se faire porter par les vagues. Mes mains étaient gelées mais le désire de vengeance était si puissant que je ne pouvais renonçer. Je lançai le caillou que je tenai au loin, ce qui attira l'attention d'un garde qui s'éloignait de ses amis pour aller voir d'où venait le bruit. J'arrivai par derrière, j'entourai sa tête avec mes bras et je lui tordis le cou dans un craquement sinistre, il tombait a terre, hurtant la tête sur un rocher.
Je ne savai pas comment attirer les autres hommes pour qu'ils se séparent, je décidai alors de tenter le tout pour le tout et de foncer tête baisser.
Je sprinta vers un premier bandit, lui planta la dague dans le ventre, la retira et la lui replantai, je le vidait de son sang, je le pris et le lançait sur un autre garde ce qui l'assommait. Les trois dernier gardes restant m'entourairent, hésitant de chacun de leurs mouvement, je courrai vers l'un d'eux, lui enfonçait ma dague dans sa gorge et me mis dnas son dos pour qu'il me serve de bouclier humain.
L'un des deux autres garde me lançait une hache qui attérit dans mon bouclier de chair. Je pris la hache qui était plantée et la lança sur l'autre garde qui se la prit dans son oeil.
Le troisième garde s'approchait de moi et voulait se battre au corp a corp, je lui planta ma dague dnas son genou, découpant son tendon et la retira pour la planter dans sa nuque d'où s'échappait des litres de sang.
Une des tentes s'allumait et un bandit tenant de la bière en sortit:
-Hipss hé...hé les gars? zetes ouu?
Cet homme marcha sur le sang et trébuchait sur les cadavres de ses amis.
-René..rené tu..hipss... dort?
Puis il s'évanouit et tomba sur le sol ...

Chapitre 3 : Aux armes

Je n'en pouvais plus de marcher. Mes pieds et mes mains étaient gelés et je commençai à m'endormir.
En haut d'une butte j'aperçus une armée entière.Hésitant de savoir de quel camps elle venait je m'approchai.
J'accostai un soldat, c'était une armée remplie de soldats de la légion impériale.
-Bonjour soldat. Que faite vous si loin de la cité impériale?
-Vous n'êtes pas au courant?
-Au courant de quoi?
-Mehrunes Dagon!
-Quoi! Dites moi ce qui se passe!
-Mehrunes Dagon est revenu. Il a rasé Skingrad,Bravil,Kvatch,Bruma, Leyawin et Cheydinal ainsi que le temple du maître des nuage!
-Mon dieu, et la cité impériale?
-Elle est la seul qui tienne encore debout, nous allons a Anvil, c'est la bas que Mehrunes Dagon et sont armée se sont arrêter.
-Il faut le vaincre a tout prix je me join a vous pour aller au combat.
-Bravo citoyen, vous aurez besoin de chance. Tener une armure loudre et une épéee longue en argent.
-Merci
Je m'enfile dans l'armure loudre et prend en main l'épée longue en argent, je jette tout le reste pour être le plus opérationel possible.

Chapitre 4: Anvil

Trois jours de marches,
Cela fait maintenant trois jours pendant lesquels l'armée de la cité impériale, le résistance humaine face au prince de la destruction, marche sans aucune pose, les soldats sont impatients mais aussi terrifier à l'idée de combattre Mehrunes Dagon.
J'ai pu apprendre beaucoup de choses pendant ce labs de temps qui me parraissait être une éternitée. Les autres villes de cyrodill auraient été toutes détruites en une seul semaine, Mehrunes Dagon aurait lever une armée gigantesque, des millions d'araignées daédras et d'autres fléaux de l'enfer on rejoins leurs forces au prince de la destruction pour annhiler l'humanitée.
Bien sur il m'est inutile de compter le nombre exact d'homme et de femmes qui se sont joints a cette armée. Des habitants de toutes les cités, de toutes les villes et même beaucoup de paysans, des brigans, des bandits. Une multitude d'êtres se déplacants côte a côte dans les grincement de métal provoqué par les chocs entre les armures et les armes.
J'imagine tous ces hommes et toutes ces femmes, couvrant la terre de leurs pas lourds, un lac humains en perpétuel mouvement en direction de Anvil.Le flots humains serait composer de milliards de soldats.
Au bout de ces trois longs jours l'armée arrive enfin a portée de vision de la ville de Anvil.
Les portes de la villes sont ouvertes, l'armée entre dans la ville avec prudence, des milliers de bras tenant leurs armes en tremblotant.
C'est une vision atroce que subissent hommes et femmes en passant dnas les rues de la ville. Les batiments en bon états se comptent sur les doigts tendis que tous les autres batiments, maison, auberges et autres habitations qui faisaient le charme de cette ville sont partie en fumés sous le feu de l'enfer.
Toues les rues sont détruites, des centaines de corps humains son empilés dans des coins, des membres humains, des bras, des jambes,des têtes et des boyaux sont vulgairements entassés.
Les mur de la villes n'existent plus,les portes sont soit ouvertes sont tomber en fauchant des passants et des gardes.
Tout d'un cou un garde hurle. Tout le monde se précipite pour voir l'impossible.
la où normalement se situait le chateau d'anvil, au coeur de la ville, est a présent remplacer par un trou béant. Un cratère immense, un puit sans fond.
Contrairement à l'idée générale, à ce que penserait tout être normal, l'enfer n'est pas venu par l'exterieur de la ville mais est apparut DANS la ville.Des rumeurs et des paroles s'élèvent dans les rangs, seul une immense créature aurait put créer un tel fosser dans le sol.
Le morale baisse de manière démesuré lorsque tout à cou un secousse est ressentit par les soldat.
Un tremblement de terre débute, c'est l'horreur dans les rangs puis le cri d'un soldat se fait ressentir. Un soldat a dissparut par le gigantesque gouffre puis est recracher et progeter contre un mur, il ne reste de la femme qui était auparavant dans cette armure qu'un squelette brulant.